ActualitéAC – Avril 2021
Le bulletin mensuel ActualitéAC d’Eckler présente des commentaires sur les enjeux ayant une incidence sur les régimes d’assurance collective canadiens.
Dans ce numéro :
- Le Manitoba suspend la hausse de la franchise du Régime d’assurance-médicaments
- Le point sur l’utilisation des médicaments biosimilaires en Colombie-Britannique
- Le gouvernement fédéral prolonge la durée des congés liés à la COVID-19 prévus en vertu du Code canadien du travail
- Des administrations canadiennes envisagent de se doter de congés pour la vaccination contre la COVID 19
- Le point sur les budgets : Accent mis sur les soins de santé en Nouvelle-Écosse, en Ontario, au Québec, en Saskatchewan au Manitoba et au niveau fédéral
- Les données témoignent de la volonté de se faire vacciner contre la COVID 19 au Canada
- Modifications au chapitre 3462, « Avantages sociaux futurs » : répercussions pour les promoteurs de régime
Gestion des régimes d’avantages sociaux
Le Manitoba suspend la hausse de la franchise du régime d’assurance-médicaments
Selon un communiqué de presse daté du 31 mars, dans le but d’aider les Manitobains à faire face aux incertitudes occasionnées par la pandémie, le gouvernement du Manitoba suspendra pour une deuxième année consécutive la hausse de la franchise du régime d’assurance-médicaments. Les taux de 2021-2022 resteront aux niveaux de 2019-2020. La franchise annuelle correspond au produit du revenu familial total redressé pour 2019 multiplié par le taux de la franchise applicable. Le régime d’assurance-médicaments acquittera la totalité des dépenses admissibles après l’atteinte de la franchise minimum de 100 dollars.
Le tableau suivant donne une répartition des taux de la franchise :
Revenu familial redressé |
Taux de la franchise : 2021-2022 |
0 $ – 15 000 $ | 3,17 % |
15 001 $ – 21 000 $ | 4,49 % |
21 001 $ – 22 000 $ | 4,53 % |
22 001 $ – 23 000 $ | 4,61 % |
23 001 $ – 24 000 $ | 4,67 % |
24 001 $ – 25 000 $ | 4,72 % |
25 001 $ – 26 000 $ | 4,79 % |
26 001 $ – 27 000 $ | 4,84 % |
27 001 $ – 28 000 $ | 4,90 % |
28 001 $ – 29 000 $ | 4,94 % |
29 001 $ – 40 000 $ | 4,97 % |
40 001 $ – 42 500 $ | 5,39 % |
42 501 $ – 45 000 $ | 5,52 % |
45 001 $ – 47 500 $ | 5,64 % |
47 501 $ – 75 000 $ | 5,71 % |
75 001 $ et plus | 7,15 % |
Répercussions : Les coûts des régimes privés qui couvrent la franchise des participants admissibles n’augmenteront pas pour l’année de régime 2021-2022.
Gestion des régimes d’avantages sociaux
Le point sur l’utilisation des médicaments biosimilaires en Colombie-Britannique
Comme nous l’avons préalablement indiqué dans ActualitéAC en 2019, le régime PharmaCare de Colombie-Britannique a annoncé en 2019 une initiative portant sur les médicaments biosimilaires dont l’objectif était de faire passer les patients qui prenaient des médicaments biologiques à des médicaments biosimilaires pour des problèmes de santé particuliers. Le gouvernement étend à compter du 7 avril l’initiative de manière à couvrir les personnes traitées au moyen du médicament Humira à une marque biosimilaire d’adalimumab comme Amgevita, Hadlima, Hulio, Hyrimoz et Idacio.
La province autorisera une période de transition de six mois pour permettre aux patients de disposer de suffisamment de temps pour engager le processus de changement avec leur prescripteur. Durant la période de transition comprise entre le 7 avril et le 6 octobre 2021, le régime PharmaCare défraiera le coût de Humira et de marques biosimilaires d’adalimumab pour tous les patients actuellement couverts. Au terme de la période de transition, le régime PharmaCare ne couvrira qu’un biosimilaire approuvé.
Répercussions : Entre le 1er décembre 2019 et le 30 novembre 2020, le gouvernement de Colombie-Britannique a dépensé près de 94 millions de dollars en couverture pour Humira. Comme les biosimilaires sont moins onéreux d’au moins 40 %, cela devrait permettre au programme PharmaCare de la province de réaliser des économies importantes. L’impact des économies sur les régimes privés dépendra de la façon dont le régime d’assurance-médicaments est intégré au régime PharmaCare provincial.
Le point juridique et législatif
Le gouvernement fédéral prolonge la durée des congés liés à la COVID-19 prévus en vertu du Code canadien du travail
Le 31 mars 2021, le gouvernement fédéral a publié un règlement modifiant le Règlement du Canada sur les normes du travail adopté en vertu du Code canadien du travail afin de faire passer de deux à quatre semaines le nombre de semaines de congé fédéral auxquelles ont droit les employés dans le contexte de la COVID‑19 qui :
- ont ou pourraient avoir contracté la COVID‑19;
- souffrent d’affections sous-jacentes, suivent des traitements ou ont contracté d’autres maladies qui les rendraient plus susceptibles d’attraper la COVID‑19; ou
- ont été invités par un médecin praticien, une autorité de la santé publique ou toute autre autorité spécifiée à s’isoler pour des raisons liées à la COVID‑19.
La durée des congés avec protection de l’emploi pour s’occuper d’un enfant ou d’un proche qui a besoin de soins est également prolongée à 38 semaines (alors que ce congé était auparavant de 26 semaines).
Ces changements font cadrer les congés liés à la COVID‑19 avec les changements touchant la prestation canadienne de relance économique pour les proches aidants et la prestation canadienne de maladie pour la relance économique.
Répercussions : Les employeurs assujettis à la réglementation fédérale devront s’assurer de se conformer aux exigences quant au maintien des avantages sociaux en vertu du Code canadien du travail.
Le point juridique et législatif
Des administrations canadiennes envisagent de se doter de congés pour la vaccination contre la COVID 19
Saskatchewan |
La Saskatchewan est devenue la première administration [en anglais] canadienne à mettre en œuvre un congé payé pour permettre à un employé de prendre congé pour aller se faire vacciner contre la COVID‑19. Le règlement intitulé The Occupational Health and Safety Regulations, 2020, a été modifié, en date du 18 mars 2021, pour préciser que les travailleurs :
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Colombie-Britannique |
Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé [en anglais] qu’il apportera, dans le cadre du plan de vaccination contre la COVID‑19 de la province, des améliorations réglementaires en vertu de l’Employment Standards Act afin de fournir un congé avec protection de l’emploi et un congé payé de sorte que les travailleurs à temps partiel et à temps plein puissent prendre congé pour se déplacer en vue de recevoir le vaccin contre la COVID‑19, ou d’emmener un membre de sa famille non autonome se faire vacciner.
Les modifications réglementaires étendent également les congés avec protection de l’emploi pour des motifs liés à la COVID‑19 afin d’assurer la protection de l’emploi pour tous les programmes de prestation fédéraux admissibles, comme dans le cas de la prestation canadienne de maladie pour la relance économique et de la prestation canadienne de relance économique pour les proches aidants. |
Répercussions : Les promoteurs de régime souhaiteront voir si d’autres administrations canadiennes emboîtent le pas de la Saskatchewan et de la Colombie-Britannique au chapitre de la mise en place de congés payés pour se faire vacciner. Les modifications apportées en Saskatchewan et en Colombie-Britannique nécessiteront de la part des promoteurs de régime qu’ils passent en revue leurs régimes actuels afin de s’assurer de se conformer aux exigences quant au maintien des avantages sociaux.
Le point juridique et législatif
Le point sur les budgets : Accent mis sur les soins de santé en Nouvelle-Écosse, en Ontario, au Québec, en Saskatchewan au Manitoba et au niveau fédéral
Budget fédéral Le budget fédéral de 2021 a été déposé par la ministre des Finances Chrystia Freeland le 19 avril 2021. En raison de la pandémie de COVID-19, il s’agit du premier budget complet du gouvernement depuis 2019. Consultez également notre Communiqué spécial pour plus d’informations sur le budget fédéral de 2021. |
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Prestations de maladie de l’assurance-emploi |
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Assurance-médicaments |
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Prestation canadienne de relance économique
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Réforme de l’assurance-emploi |
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Nouvelle-Écosse Plusieurs aspects retiennent l’attention, dont les suivants : |
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Améliorations au système de santé
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Soutien en matière de santé mentale |
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Soins de longue durée | Plus de 1 milliard de dollars pour le maintien des soins par le biais d’améliorations aux soins de longue durée et aux soins à domicile, ce qui représente une augmentation de 119,6 millions de dollars ou de 13 % par rapport à l’année dernière, comprenant :
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Ontario Le gouvernement de l’Ontario a déposé son budget de 2021, « Plan d’action de l’Ontario : Protéger la santé de la population et notre économie » le 24 mars 2021. Le budget met fortement l’accent sur les mesures d’aide visant à lutter contre la pandémie de COVID‑19 qui se poursuit, en accordant une attention particulière aux investissements connexes et aux soins de santé. Parmi les aspects susceptibles de retenir l’attention, citons les suivants : |
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Aide en rapport avec la COVID
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Soins de longue durée |
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Problèmes de santé mentale et de dépendance
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Québec Le budget 2021-2022 du Québec, « Un Québec résilient et confiant » a été déposé le 25 mars 2021. Le budget met fortement l’accent sur les mesures d’aide visant à combattre la pandémie de COVID‑19 qui se poursuit, en mettant un accent particulier sur des investissements connexes dans le domaine des soins de santé. Parmi les aspects susceptibles de retenir l’attention, citons les suivants : |
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Revoir la rente d’invalidité du RRQ
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Aide contre la COVID et initiatives en soins de santé | 15,2 milliards de dollars d’ici 2025-2026 qui comprennent :
795 millions de dollars pour renforcer les services pour les jeunes en difficulté, pour répondre aux besoins des personnes vulnérables et pour accroître les services en santé mentale. |
Fiscalité
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Saskatchewan Le gouvernement de la Saskatchewan a publié son budget de 2021 [en anglais] le 6 avril 2021. Le budget contient des mesures d’aide pour lutter contre la COVID‑19 et des fonds records voués aux soins de santé de 6,5 milliards de dollars. Le budget du ministère de la Santé pour 2021-2022, qui s’élève à 6,12 milliards de dollars, représente une augmentation de 261 millions de dollars, soit 4,5 % par rapport à 2020-2021. Parmi les aspects susceptibles de retenir l’attention, citons les suivants : |
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Santé mentale |
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Trouble du spectre de l’autisme
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Programme de pompe à insuline et de surveillance du glucose |
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Frais ambulanciers |
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Manitoba Le gouvernement du Manitoba a publié son budget de 2021 le 7 avril 2021. Le budget met fortement l’accent sur les mesures touchant les soins de santé et la pandémie de COVID‑19 qui se poursuit, en insistant sur les investissements dans les mesures préventives et les traitements. Parmi les aspects susceptibles de retenir l’attention, citons les suivants : |
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Réduire les temps d’attente |
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Programme de pompe à insuline et de surveillance du glucose
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Insulin pump program & glucose monitoring |
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Santé mentale |
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Cessation du tabagisme | En avril 2021, le gouvernement lance une nouvelle obligation à impact social dont l’objectif est d’aider les personnes à cesser de fumer, en partenariat avec Pharmacists Manitoba. En vertu de cette obligation, la société Shoppers Drug Mart investira sur trois ans une somme de 2 millions de dollars pour financer des initiatives de cessation du tabagisme, incluant des services de counseling et des thérapies de remplacement de la nicotine. |
Répercussions : Les gouvernements de l’ensemble du pays, ainsi que le gouvernement fédéral, ont mis l’accent sur la reconstitution des systèmes de soins de santé qui ont été mis à très rude épreuve avec la pandémie de COVID‑19 qui se poursuit. Bien que la majorité des récentes propositions budgétaires n’aient pas d’incidence immédiate directe sur les régimes privés, l’accent mis sur la réduction des temps d’attente, sur l’augmentation du financement pour les initiatives de santé mentale et sur l’amélioration de l’accès pour les soins de santé virtuels et de première ligne dans le contexte de pandémie représente une nouvelle que les employés et les résidents de l’ensemble du pays devraient accueillir favorablement. D’autres informations sont à venir quant à l’extension des prestations de maladie de l’assurance-emploi.
Recherche
Les données témoignent de la volonté de se faire vacciner contre la COVID‑19 au Canada
Alors que la plupart des provinces du pays traversent la troisième vague de la COVID‑19, des données de Statistique Canada montrent que la volonté de se faire vacciner augmente chez les Canadiens alors que la pandémie se poursuit.
Selon l’étude, si près de 75 % des Canadiens faisaient état de leur volonté de se faire vacciner en septembre 2020, 80 % d’entre eux ont indiqué qu’il était plutôt ou très probable qu’ils se fassent vacciner au cours de la période de novembre à la mi-décembre. Des variations d’une province à l’autre ont été observées, alors que l’Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse et la Colombie-Britannique ont affiché des résultats supérieurs à la moyenne canadienne de 75 %.
La volonté de se faire vacciner a également varié quelque peu, alors que les Canadiens plus âgés, âgés de 65 ans et plus, étaient légèrement plus disposés, à 82 %, à se faire vacciner, par rapport à 75 % des Canadiens âgés de 12 à 64 ans. La volonté de se faire vacciner contre la COVID‑19 varie aussi considérablement pour divers groupes de Canadiens. Parmi les groupes désignés comme minorités visibles, la volonté de se faire vacciner contre la COVID‑19 variait entre 56 % parmi la population noire et 82 % parmi la population sud-asiatique.
Répercussions : Alors que la plupart des provinces du pays traversent la troisième vague de la COVID‑19, des données de Statistique Canada montrent que la volonté de se faire vacciner augmente chez les Canadiens alors que la pandémie se poursuit.
Selon l’étude, si près de 75 % des Canadiens faisaient état de leur volonté de se faire vacciner en septembre 2020, 80 % d’entre eux ont indiqué qu’il était plutôt ou très probable qu’ils se fassent vacciner au cours de la période de novembre à la mi-décembre. Des variations d’une province à l’autre ont été observées, alors que l’Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse et la Colombie-Britannique ont affiché des résultats supérieurs à la moyenne canadienne de 75 %.
La volonté de se faire vacciner a également varié quelque peu, alors que les Canadiens plus âgés, âgés de 65 ans et plus, étaient légèrement plus disposés, à 82 %, à se faire vacciner, par rapport à 75 % des Canadiens âgés de 12 à 64 ans. La volonté de se faire vacciner contre la COVID‑19 varie aussi considérablement pour divers groupes de Canadiens. Parmi les groupes désignés comme minorités visibles, la volonté de se faire vacciner contre la COVID‑19 variait entre 56 % parmi la population noire et 82 % parmi la population sud-asiatique.
Le Coin de l’actuaire
Modifications au chapitre 3462, « Avantages sociaux futurs » : Répercussions pour les promoteurs de régime
En novembre 2020, le Conseil des normes comptables (CNC) a annoncé des modifications finales au chapitre 3462, « Avantages sociaux futurs » de la Partie II du Manuel de CPA Canada (CPA 3462). En plus de préciser l’évaluation de l’obligation au titre des prestations définies (OPD) pour les prestations de retraite et les avantages sociaux postérieurs à l’emploi des régimes tenus d’établir une évaluation de capitalisation, les modifications suppriment également la possibilité antérieurement autorisée de recourir à une évaluation de capitalisation pour les régimes à prestations déterminées (PD) sans exigence d’évaluation de capitalisation (régimes non capitalisés). Bien que les modifications entrent en vigueur pour les états financiers d’exercices ouverts à compter du 1er janvier 2022, le CNC en encourage l’adoption anticipée.
Dans certaines administrations, la législation sur les prestations de retraite exige désormais qu’une provision pour écarts défavorables (PED) explicite soit incluse dans la détermination des exigences de capitalisation minimale des régimes de retraite PD. Ces modifications au chapitre 3462 précisent que la mesure de l’OPD d’un régime comprendrait tous les éléments d’une évaluation de capitalisation, y compris, par exemple, toute PED explicite applicable. Bien que cette clarification saura intéresser les promoteurs de régime qui déclarent une obligation pour un régime PD capitalisé, elle pourrait avoir des répercussions encore plus importantes sur les états financiers des promoteurs de régime qui doivent déclarer une obligation pour un régime PD non capitalisé (p. ex. régimes postérieurs à l’emploi/de retraite sans versement d’une rente) et qui produisent actuellement ces résultats financiers en utilisant une base de capitalisation conforme à leurs autres régimes capitalisés.
La suppression de la capacité de mesurer l’OPD d’un régime non capitalisé, comme un régime postérieur à l’emploi/de retraite sans versement d’une rente typique, en utilisant la base d’évaluation par capitalisation d’un régime capitalisé pourrait entraîner une augmentation substantielle de l’OPD du régime non capitalisé. Les taux d’actualisation typiques utilisés dans une évaluation de capitalisation (sur la base du rendement attendu des actifs du régime) peuvent être plus élevés que les taux d’actualisation actuels utilisés pour préparer une évaluation comptable d’un régime non capitalisé (sur la base de rendements d’obligations de sociétés de haute qualité). En fait, ils peuvent être considérablement plus élevés. Par exemple, au 31 décembre 2020, les taux d’actualisation courants utilisés pour les régimes capitalisés étaient de 5,75 % par an, tandis que les taux d’actualisation comptables courants pour les régimes non capitalisés étaient de 2,75 % par an. Cela se traduirait par une forte hausse de l’OPD mesurée selon un taux d’actualisation comptable moindre. Par exemple, pour chaque diminution de 1,0 % de l’hypothèse du taux d’actualisation, l’OPD pourrait augmenter de 15 % à 25 %, selon la durée du régime. Bien que l’incidence de l’OPD puisse être atténuée en raison de la suppression de l’exigence de PED, on s’attend à ce que la modification du taux d’actualisation entraîne malgré tout une augmentation globale de l’OPD et des charges comptables.
Répercussions : Les promoteurs de régime qui produisent des rapports conformes au CPA S3462 ou au CPA S3463 devraient consulter leurs actuaires pour estimer les répercussions de ces modifications sur leurs régimes, évaluer les options qui s’offrent à eux pour leur régime et leurs rapports et s’assurer de s’y conformer au plus tard avec les exercices débutant à compter du 1er janvier 2022.
Ce bulletin a été préparé par l’équipe de rédaction d’ActualitéAC à des fins d’information générale seulement et ne constitue pas un conseil professionnel. Les renseignements contenus dans le présent document sont fondés sur les sources et les analyses actuellement disponibles. Les données utilisées peuvent provenir de sources de tierces parties qu’Eckler n’a pas vérifiées, validées ou contrôlées de façon indépendante. L’équipe de rédaction ne fait aucune déclaration et n’offre aucune garantie quant à l’exactitude des renseignements, ni à leur pertinence pour les fins auxquelles ils sont destinés par les utilisateurs. Ces renseignements ne doivent pas être interprétés comme étant des conseils relativement à une situation particulière et ne peuvent être considérés comme tels.
L’équipe de rédaction est présentement formée de Andrew Tsoi-A-Sue, Ellen Whelan, Charlene Milton, Philippe Laplante, et Nick Gubbay.